Le texte qui suit a été intégralement rédigé par le logiciel d’IA Gemini de Google à partir de la requête qui est le titre de l’article. On a respecté les phrases en caractère gras.
On fait des commentaires en fin de texte (en italiques).
Le texte qui suit a été intégralement rédigé par le logiciel d’IA Gemini de Google à partir de la requête qui est le titre de l’article. On a respecté les phrases en caractère gras.
On fait des commentaires en fin de texte (en italiques).
Il existe deux formes de plafonnement des loyers en France. Le premier est un plafonnement « en dynamique » qui encadre l’évolution dans le temps de l’ensemble des loyers du secteur privé. Le second est un plafonnement « en statique » qui encadre les loyers les plus élevés dans les plus grandes communes. Le premier concerne le prix des loyers c’est-à-dire la composante prix « pure ». Le second concerne les loyers au mètre carré qui sont fonction du prix des loyers mais aussi de la qualité au mètre carré, laquelle est une composante du volume. On examine successivement ces deux plafonnements.
En 2021, selon les Comptes du Logement (1), les ménages ont dépensé 406 milliards € en acquisition de logements neufs et anciens et en travaux. Ce montant représente 2,6 fois celui de l’année 2000 alors que le Revenu Disponible Brut de l’ensemble des ménages n’a augmenté que de 75%. Ces acquisitions n’ont donc été possibles que grâce à l’endettement des ménages. Une première question est de savoir d’où vient l’argent qui a permis leur endettement. La seconde question est : quels risques sont attachés à cet argent ?
L’utilisation des logements et plus généralement celle des bâtiments, résidentiels ou non, contribue significativement aux émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) en France. Pour autant sa contribution et son évolution en France et à l’étranger ne devrait pas en faire un secteur prioritaire dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Éditions L’Harmattan, octobre 2021.
Cet ouvrage se situe dans le prolongement de mes travaux d’économie immobilière, notamment sur la question des patrimoines immobiliers. Il constitue aussi une critique de l’ouvrage de Thomas Piketty « le capital au 21ème siècle » qui contient des affirmations contredites à la fois par la réalité économique et par l’analyse économique. L’ouvrage de Piketty avait fait l’objet de commentaires critiques dans un article publié sur ce blog en août 2014 : « Capital et patrimoine immobilier : à propos de l’ouvrage de Thomas Piketty »
Mon ouvrage vise à rétablir la vérité concernant l’évolution des inégalités et à apprécier son impact sur la croissance. On y montre que l’accroissement des inégalités de patrimoine est principalement imputable à l’abondance des liquidités et que c’est la faiblesse du taux d’intérêt qui pèse sur la croissance.
Les mesures de confinement prises pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ont obligé une bonne partie de la population française à rester chez elle. Certains ont pu continuer à travailler par le télétravail, d’autres ont été mis en chômage partiel, d’autres enfin ont dû cesser toute activité. Au total une bonne partie des activités économiques ont été ralenties ou interrompues. Tout cela a un coût qu’on peut chercher à mesurer.
On rapprochera ce coût direct du confinement sur les activités économiques du nombre des vies humaines épargnées. On s’intéressera ensuite à l’incidence du confinement sur le logement qui est finalement ce en quoi a consisté fondamentalement le confinement.
Certains s’étonnent que la hausse du prix des logements depuis le début des années 2000 n’apparaisse pas dans l’indice des prix à la consommation. De fait seul le prix des loyers en fait partie et il est notoire que les prix et les loyers évoluent de façon divergente depuis les années 2000 (cf. graphique 1).
Certains suggèrent donc qu’on inclue le prix des logements dans l’indice des prix à la consommation. Est-ce une bonne idée ? Deux raisons font que ce n’en est pas une.
Dans un précédent article, on a montré que la vacance était un phénomène général qui affectait aussi bien les grandes agglomérations que le reste de la France et dont l’évolution depuis 2006 était croissante partout. Elle est la manifestation d’un excès d’offre de logements par rapport à la demande. Et cet excès est croissant. On rappelle qu’on a raisonné au niveau des « aires urbaines » au sens de l’INSEE parce qu’on a considéré qu’elles correspondaient le mieux à ce qu’on peut estimer être le périmètre d’un marché local du logement. Un marché se définit essentiellement par une certaine substituabilité des biens entre eux.
Qu’en est-il maintenant en ce qui concerne la vacance au sein des agglomérations ? On examine le cas des 7 aires urbaines retenues pour l’étude de la vacance en différentiant cette fois le centre et le reste de l’agglomération. Le centre est identifié faute de mieux à la commune centre. Pour l’agglomération parisienne qui représente près de 20% de la population française on affine l’étude en prenant en considération les différentes couronnes de Paris.
Révisé le 7/11/2020
Les données de la statistique publique montrent que la vacance s’accroît dans des proportions sensibles puisqu’au niveau national elle a augmenté de 50% en nombre depuis 2006. Au 1er janvier 2018, selon les données de l’INSEE, il y a 2,948 millions de logements vacants en France métropolitaine, ce qui représente un taux de 8,3%, niveau qui n’a jamais été atteint précédemment. L’accroissement résulte d’un excès de croissance du parc de logements par rapport à celui de la demande exprimée par le nombre de ménages. En 2019 la vacance marque la pas avec une légère diminution.
Quand on évoque ces nombres il est couramment objecté que la vacance concerne surtout les zones rurales et les petites agglomérations et que dans les grandes agglomérations le marché est tendu. On utilise les données locales des recensements de l’INSEE pour examiner la question. Auparavant on rappelle la situation nationale.
On s’intéresse ici aux caractéristiques des marchés du logement et du travail. On montre en quoi ils sont comparables, ce qui fait que l’on peut utiliser les mêmes instruments d’analyse sur l’un et l’autre de ces deux marchés. On rétablit ainsi une vision économiquement fondée de l’état du marché du logement, de son mode de fonctionnement et des politiques qui y sont à l’œuvre.